Cette virilité vit là sur sa demeure.
Domestiqués et vifs, ses animaux seront
Sa seule viande restée dans son giron.
Ici, ça semble mal avant qu’elle ne meure.
La musique était son unique compagne.
Sa mélodie faisait sa totale gaité.
Sa sonorité simple, ses pensées agitées
Depuis, elle n’y est plus, elle a fui la campagne
Voir ses prés, ses cieux bleus et ses soleils sublimes
Le maintiendra dehors, au-delà de l’Abime,
Le fera fuir le noir et chaque étrangeté.
Il sera jusqu’au bout juste, calme et honnête.
Là, sa poignée franche et sa peau d’une odeur nette
Lui rappelleront tous les moments qu’il jubila.